Gare au soleil !
Bien protégé tout l’été
La saison des plages est entamée, les lézards peuvent sortir pour profiter pleinement du soleil et faire le plein de vitamine D. Mais attention : là aussi, mieux vaut sortir protégé…
L’offre en matière de protection solaire est large et les indications sur les tubes et flacons pas toujours claires. Pour se faire une idée, un indice de protection 2 arrête la moitié des ultraviolets, un indice 20 fait barrage à 94 % et l’indice 60 n’en laisse passer que 2 %.
SPF, IP, FPS… comment s’y retrouver ?
IP signifie indice de protection, FPS, facteur de protection solaire et SPF, sunburn protection factor pour les marques anglaises. Autrement dit, toutes ces abréviations veulent dire la même chose. Ce qui compte, c’est le chiffre qui est généralement indiqué en gros sur le packaging. À savoir : ces indications sont nivelées de manière internationale. Vous pouvez donc acheter votre crème solaire en arrivant sur votre lieu de vacances sans crainte.
La mention UVA…
Sur certains tubes, les marques ajoutent un indice de protection UVA. En réalité, cela ne signifie pas grand-chose : les modes de calcul sont variables et il est aujourd’hui presque impossible de mesurer l’impact des UVA sur la peau. Contrairement aux UVB, les UVA ne provoquent pas de coups de soleil.
Choisir une protection adaptée à votre peau
Les indices de protection varient de 5 à 60. En fait, la différence entre un indice 5 et 30 est énorme. En revanche, au-delà de 30, la protection augmente moins vite. Cela étant, plus la peau est claire, plus elle est restée longtemps sans voir le soleil, plus il faut la protéger.
Une protection adaptée à la destination.
La réflexion des ultraviolets varie en fonction du lieu où vous vous trouvez. L’eau réfléchit entre 5 et 10 % des rayons solaires, l’herbe 3 %, le sable 15 à 30 %. La neige, elle, peut renvoyer jusqu’à 90 % des UV ! Dans tous les cas, choisissez un indice élevé pour les premières expositions et baissez au bout de quelques jours quand la peau est habituée. Enfin, si l’eau renvoie moins les rayons UV, elle élimine les crèmes lors des bains (même les waterproof) et les gouttelettes agissent comme des loupes. Veillez à vous enduire régulièrement et abondamment.
Protégé, même à l’ombre
Les rayons ultraviolets ne sont jamais totalement filtrés par les parasols ou les chapeaux. Ils se réfléchissent sur le sol et reviennent tout droit sur votre peau. Par conséquent, même à l’ombre, il est important de se protéger. De même, par temps couvert, seule la moitié des UV est filtrée par les nuages. Alors méfiance et protection sont de mise, en toute circonstance !
Pour garder votre bronzage, faites un gommage. Ce dernier élimine les cellules mortes, affine la peau et la rend plus réceptive à bronzage uniforme. N’oubliez pas de vous hydrater après chaque exposition, votre bronzage en sera prolongé d’autant et vous éviterez les sensations d’échauffement. Enfin, si vous doutez devant les informations figurant sur les emballages des produits solaires, demandez conseil à votre pharmacien.







Éric Brulin
Né a Lille, il y a une trentaine d’années, Olivier Postel grandit entre la France et la Pologne. Dès l’an 2000, il rejoint Paris où il tient pendant des années un blog à succès en publiant des articles sur l’actualité LGBT, mais aussi sur l’art ou la télévision, mêlant humour et dérision. En 2008, guidé par l’amour, il déménage en Suisse, précisément à Lausanne où il vit toujours depuis. Il s’engage dans divers combats comme la lutte contre l’homophobie en milieu scolaire, la prévention des IST ou la désocialisation des jeunes homosexuels et devient en 2010 viceprésident de VoGay, l’association vaudoise des personnes concernées par l’homosexualité. En 2011, Olivier Postel signe son premier roman D’ombres et de lumières. Le temps de l’innocence, premier volet d’une saga présentant dix années de la vie d’un acteur torturé. Parallèlement à ses actions associatives, ce passionné de littérature et de cinéma vient de créer les éditions Queerorama, une structure éditoriale militante consacrée aux textes LGBT. Il poursuit également l’écriture d’un nouveau roman ayant pour toile de fond Israël.
Né à Bordeaux, breton d’origine, Stéphane Renaud a vécu à Bruxelles, Athènes, Rio de Janeiro et Paris où il a exercé l’activité de galeriste durant une vingtaine d’années, dans le Marais. Il réside maintenant à Eze sur la Côte d’Azur où il réalise des sculptures en terre, en vue de leur réalisation en bronze. La Méditerranée lui offre sa lumière et les sujets qui l’inspirent : la nature, l’amour, le corps humain, les animaux, les allégories. Il a présenté ses œuvres au public lors de nombreuses expositions en France et à l’étranger : Nice, Paris, Londres, Genève, Chicago…Particulièrement influencé par les mythologies grecques et brésiliennes, Stéphane Renaud tente de rendre sous des formes simples la vie, l’énergie et la sensualité du monde. Parallèlement à son travail de sculpture et de peinture, il a écrit et publié une dizaine d’ouvrages d’art et de littérature, de la poésie, des contes et nouvelles, quelques essais ainsi que des pièces de théâtre, l’écriture et la sculpture allant de pair pour lui. En 2011, il a signé deux nouveaux livres aux Éditions Gaies et Lesbiennes : Eden (roman) et deux nouvelles Remember suivi de La Nuit du faune. 