Concert-dîner-expo – Gard

Expo : Matthias Lermann graphic et peintures
Concert : Sango Bantou – afrobeat cameroun – Marseille
et dîner à la Galerie Chrämai

Le 14 juillet 2008
Durfort (30-Gard)

Programme

19 – 22 h : concert – PAF 15 €, aperitif offert et tapas sur carte
après 22h : diner sur reservation 30 € par personne (hors boissons)

SANGO BANTOU (cameroun-marseille)
guitare-basse-batterie et chant

Le trio SANGO BANTOU se consacre à la musique camerounaise d’aujourd’hui.
SIMBA, guitariste réputé dans son pays y développe un sens mélodique et un phrasé typique. La voix corsée et franche nous plonge dans les profondeurs intimes de son peuple. Le jeu de batterie de MANU,
puissant et inventif, se joue avec plaisir de la complexité des rythmes camerounais et ne laisse à l’écoute aucun doute sur ses origines africaine. L’émotion de son chant nous touche particulièrement dans les
interprétations de ses propres compositions évoquant les drames passés et présents du peuple noir-africain (« bomba africa » : les enfants d’Afrique…). À la basse électrique, RENAUD, musicien marseillais, se
prête au jeu, non sans virtuosité, partant à l’assaut du « bikoutsi* » et autres défis rythmiques propres à ces musique.
Le programme oscille entre compositions personnelles de manu et simba et répertoire " variété " du Cameroun, entre fête et émotion.
Pour écouter àvant le concert : http://profile.myspace.com/sangobantou

bikoutsi : musique typique et très entrainante du Cameroun, et dont SIMBA est une des têtes de file, notamment au sein du groupe : « les zombies de la capitale »

Matthias Lermann
est un exponet interessant de la post-moderne l’art actuel. Il passe souverain au dogmatismes et se reprends le drot de créer beauté sans ‘etre captiver par une esthétisisme surperficiel, au contraire: le
spectateur sensible rencontre chez lermann des couches subtil et tres differenciés.
Dans l’oeuvre de le fond blanc clair est tres caractristique : comme le fond d’or des ancien icones de l’eglise de l’est. N’est pas de la décoration mais symbol de transcendence – le blanc de lermann reprends la
fonction dans son oeuvre. Ce n’est plus de de la surface mais espace indeterminé. Un espace – de l’image entre rien et l’etre qui se reconcentre au seul existant – le moment présent. Ca reste le secret de
l’achemist lermann comme il créer dès semblabelement des éléments principales et conventionels une image qui sera completement inconventionelle et unique rarité.
Les oeuvres de Matthias Lermanns Arbeiten sont des mataphers existentielles de ce bi-polarité fondamentale,sur le quelle nôtre monde se base: le non et le oui, la mort et la vie, dynamique et stabilité. Ces
opposé fondamentale constituent la base de la vie et l »atiste nous amène dans une sensibilité vivant dont on ne peut pas se retirer. Il ne reprends pasl’image à partir de la réalité mai cré des chiffres d’interieur
d’une longuissement archaique. Pas l’exterieur et le semblable mais la vue de l’oil d’interieur il enseigne au spectateur. Comme un mot de Paul Klee: « l’art ne reflet pas le visible, mais laisse nous voir. »

Galerie Chrämai
Espace la vieile maison
hameau de valensole
30170 durfort
Tél & fax : 04 66 77 06 46
www.galeriechraemai.com
www.la-vieille-maison.eu